Introduction et présentation par Fernando de Córdoba
Sergio Carbonell accueille Fernando de Córdoba, soulignant son profil de stratège et de diffuseur de marque. Son compte populaire de médias sociaux « Arqueología Brandera » est mentionné, où il documente le parcours visuel des marques historiques dans le paysage urbain. L’objectif de l’épisode est établi : l’image de marque en tant que culture et outil stratégique.
Qu’est-ce que le branding et comment nous affecte-t-il ?
Fernando explique son travail en matière de stratégie, de formation et de diffusion. Il réfléchit à la façon dont le branding est présent dans notre vie quotidienne, au-delà du commercial : en tant qu’outil culturel, social et émotionnel.
Des marques qui laissent leur empreinte : des souvenirs d’enfance à la ville comme vitrine
Partageant une anecdote sur le banc Argentaria, Fernando explique comment des éléments visuels tels que les panneaux sont gravés dans notre mémoire émotionnelle. Ils parlent de l’exposition de vieilles enseignes et de la façon dont les espaces urbains communiquent également sur l’image de marque.
La marque dans l’environnement : cohérence, réglementation et adaptabilité
Exemples de marques qui savent s’intégrer dans le paysage urbain. Ils parlent de la réglementation de la publicité extérieure et de la façon dont certaines marques respectent l’esthétique locale, générant une plus grande acceptation sociale et culturelle.
L’image de marque en période de polarisation : les marques doivent-elles prendre position ?
Débat sur le rôle des marques dans les questions sociales et politiques. Fernando soutient qu’ils ne devraient pas tous prendre parti, mais qu’ils devraient être cohérents. Des cas réels sont analysés et l’opportunisme sans réel engagement est critiqué.
La raison d’être de la marque : entre authenticité et posture
Fernando démantèle l’excès de finalité de certaines marques. Il cite des exemples d’activisme bien fait, comme Ben & Jerry’s, et d’autres où l’on tombe dans le greenwashing. Clé : être crédible, pas spectaculaire.
Contenu de marque : du bureau d’Elena Francis aux streams d’Ibai
Un rappel historique de la façon dont les marques ont toujours créé du contenu. Ils analysent le contenu de marque comme un format légitime s’il est utile, divertissant et non destiné à tromper.
Publicité, médias et pouvoir : qui décide de ce qui peut être dit ?
Discussion sur le rôle des annonceurs dans les médias. Fernando soutient que la pression commerciale ne devrait pas fixer les limites du contenu, bien qu’il reconnaisse le dilemme éthique qui se pose dans certains cas.
Ce qui fait la force d’une marque aujourd’hui : cohérence, contexte et évolution
Fernando explique qu’il n’y a pas de valeurs universelles que chaque marque doit avoir, mais que l’essentiel est de savoir défendre les siennes avec cohérence, en les adaptant au contexte changeant.
Branding et intelligence artificielle : opportunités et risques
Réflexion finale sur l’utilisation de l’IA dans le branding. Fernando l’utilise comme un outil de soutien, et non de substitution, et met en garde contre les risques éthiques et créatifs en cas de perte de contrôle.
Adieu et recommandation du livre « Les Secrets des Marques »
Ils recommandent le livre de Fernando, idéal pour ceux qui veulent comprendre comment les marques influencent nos vies, même si elles ne travaillent pas dans le marketing. Dernier adieu avec remerciements.